Akira Mizubayashi
Écrivain et universitaire japonais d’expression française, couronné en 2025 par l’Académie française.
Écrivain et universitaire japonais d’expression française, couronné en 2025 par l’Académie française.
Il a longtemps enseigné le français à Tokyo avant de se consacrer à l’écriture. Il est l’auteur de romans, marqués par l’humanisme et la place centrale de l’art – parmi lesquels Âme brisée (Prix des libraires 2019), Reine de cœur (2022) et Suite inoubliable (2023) (éditions Gallimard).
Dans son dernier roman, La forêt de flammes et d’ombres, il nous entraîne dans le Tokyo de 1944 à travers le destin de Ren Mizuki. Il y rencontre deux autres étudiants qui partagent sa passion pour la culture et l’art européens : Yuki, qui deviendra sa compagne, peintre elle aussi, et Bin, un violoniste promis à une carrière internationale, qui restera à jamais son frère d’élection. En 1945, Ren est appelé en Mandchourie dans l’enfer des combats. Il reviendra défiguré, mutilé et persuadé de ne plus jamais pouvoir tenir un pinceau. L’amour de Yuki sera-t-il capable de renverser un destin ? À travers cette histoire bouleversante, Akira Mizubayashi poursuit son exploration des thèmes qui lui sont chers : le désastre des nationalismes, la mémoire des blessures de guerre et la puissance salvatrice de l’art.
Dans son dernier roman, La forêt de flammes et d’ombres, il nous entraîne dans le Tokyo de 1944 à travers le destin de Ren Mizuki. Il y rencontre deux autres étudiants qui partagent sa passion pour la culture et l’art européens : Yuki, qui deviendra sa compagne, peintre elle aussi, et Bin, un violoniste promis à une carrière internationale, qui restera à jamais son frère d’élection. En 1945, Ren est appelé en Mandchourie dans l’enfer des combats. Il reviendra défiguré, mutilé et persuadé de ne plus jamais pouvoir tenir un pinceau. L’amour de Yuki sera-t-il capable de renverser un destin ? À travers cette histoire bouleversante, Akira Mizubayashi poursuit son exploration des thèmes qui lui sont chers : le désastre des nationalismes, la mémoire des blessures de guerre et la puissance salvatrice de l’art.
