De bonne augure pour imaginer un dessert. Avec sa senteur gourmande aux effluves de noisette, impossible en effet, de ne pas penser à un usage pâtissier.
En latin, le mot "gaude" signifie "réjouissez-vous".
De bonne augure pour imaginer un dessert. Avec sa senteur gourmande aux effluves de noisette, impossible en effet, de ne pas penser à un usage pâtissier.
• 250 g de farine de gaudes
• 250 g de beurre de Bresse AOP
• 200 g de sucre
• 3 oeufs de ferme
• 1/2 sachet de levure
• 1 pincée de sel
• Délayer patiemment les œufs avec le sucre.
• Incorporer la farine de gaudes en pluie, la levure et ajouter le beurre de Bresse AOP par petits morceaux, puis le sel.
• Laisser reposer 30 min. au frais.
• Etaler la pâte sur un demi centimètre d’épaisseur, découper cette pâte avec un emporte-pièce de 5 cm de diamètre.
• Poser sur une tôle et laisser reposer à l’abri de l’air pendant 30 min.
• Dorer la surface des sablés, en les griffant avec une fourchette.
• Cuire à four chaud (180 °C) durant 10 à 15 min.
Pendant de nombreuses générations, les gaudes constituaient un aliment de base peu onéreux pour les familles bressanes.
Cuite longuement et à petit feu, cette farine de maïs torréfié au goût de noisette était alors consommée en bouillie, mélangée avec du lait frais.
Aujourd’hui, elle se consomme en flan, sablé ou comme ingrédient dans des pâtes à gâteau. Les chefs cuisiniers l’utilisent aussi pour la cuisson de la friture et des grenouilles.
L’Ain dans les
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